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Récit B groupe rose Mme Mallard

Mathis appelle Sara et lui explique la situation. Elle lui demande d’amener les chiens et les petites boules noires qu’il a récupérées afin de les analyser.

En les voyant, Sara demande à Mathis :

  • “Qu’as-tu fait récemment avec tes chiens ?
  • J’ai chassé avec eux mais il est vrai qu’ils ont passé leur temps à courir pour chasser un renard qui les a mordus.
  • Te souviens – tu s’ils ont mangé ou bu quelque chose ?
  • Oui, ils ont bu dans l’endroit où le renard se cachait.
  • Peut- être que ces petites boules noires viennent du renard ?
  • D’accord, réplique – t il, mais qu’est-ce que c’est ?
  • Ah, je sais ! s’écrie Sara. Cela doit venir des poiticks ? Tu sais les drôles d’insectes qui ont des pattes d’araignée, des dents miniatures de serpent et qui volent. Ils savent nager aussi.
  • Ah, oui je me souviens. J’ai lu cela dans un documentaire. Ils ont été découverts récemment. Ils sortent par milliers.
  • Ah, cela vole ces insectes étranges? et ils respirent hors de l’eau.
  • Cela doit faire mal aux chiens.

De plus, ils sont minuscules parce qu’ils passent dans le robinet. Ils sont donc atchoum …redoutables.

Soudain, Mathis ne se sent pas bien non plus. Il s’évanouit.

Sara appelle les pompiers qui se déplacent en camion volant. Après avoir raccroché, elle compose le numéro d’Antoine et de Baptiste avec son I phone 50. Les pompiers arrivent et emmènent Mathis à l’hôpital.

Pendant ce temps, un des chiens vomit et crache du sang. L’autre chien tient encore le coup mais il reste anéanti. Soudain, un des chiens pousse un long gémissement et meurt les yeux ouverts. 

Les deux hommes militaires se souviennent d’avoir entendu parlé de bêtes appelées poilibessons. Elles ressemblent aux libellules et possèdent des dents crochues et rejettent un liquide pailleté et puissant qui tuent les poiticks. 

Ils décident d’appeler immédiatement les autorités politiques afin d’avoir l’autorisation de faire rapatrier les poilibessons qui se développent  en Mongolie.

Celles-ci y répondent très rapidement et organisent la livraison des sauveurs du virus par e-drones.

Récit D partie 3 Mme Mallard

Je comprends mieux pourquoi le parc est fermé : il y a une zone sinistrée et une zone épargnée par les flammes où les jardiniers travaillent.

Je m’inquiète pour la santé du panda. Je cours rejoindre Kimico à l’endroit habituel dans le parc et nous nous dirigeons vers la clinique vétérinaire.

Sur le trajet, nous échangeons sur le panda et je demande à Kimico :

“ Comment as-tu découvert le panda roux dans le parc ?

  • Je ne sais pas vraiment, c’est mon grand-père qui me l’a montré.
  • C’est quand même bizarre que ton grand-père ne t’ai jamais rien dit ? Est-ce que tu te rends compte que ton grand-pềre est peut-être un braconnier ?
  • Oh ! non t’exagères, il serait incapable de faire du mal à un panda roux.
  • Eh ! regarde on est arrivés.”

Nous rentrons dans la clinique et demandons des nouvelles du panda roux. On nous informe qu’il est indemne même s’ il est très fatigué. Il est sous perfusion et a besoin de repos. 

Kimico demande à l’assistante du vétérinaire :

  • Peut-on le voir s’il vous plaît  ?
  • Non désolée, ce n’est pas possible avant une semaine.”

Nous rentrons dépités et j’invite Kimico à venir dîner chez moi.

Avant le dîner, nous discutons de l’affaire dans ma chambre.

Kimico dit : 

“ – Pendant la fête des 100 ans du parc, j’ai l’impression d’avoir été observée et j’ai remarqué une personne bizarre qui a la même taille que mon grand-père.

Peut-être que celle-ci est un braconnier et a décidé de mettre le feu au parc pour créer la panique et de faire évacuer les gens. Ainsi, il pouvait tranquillement récupérer le panda pour essayer de le revendre.

Soudain, maman nous appelle pour dîner. Notre conversation a donc été interrompue.

La semaine suivante, en allant voir le panda, Kimico toute surprise dit : 

  • Eh, regarde, c’est le monsieur de la fête. Ce visage  m’interpelle beaucoup !  Il ressemble énormément à mon grand-père.
  • On va le voir ?

Nous nous approchons de cet homme qui porte un sac noir qui bouge anormalement sur les côtés. Une fois arrivé auprès du monsieur il nous dit:

“- Oh Kimico ! Euh ! on se connait ?” 

Récit E – Partie 3

Le lendemain, Baolé se lève joyeusement : il a enfin trouvé le nom de la ville « l’Etoile Blanche » et celui-ci de l’hôtel « Le Petit Yéti ».  

L’après-midi, les bucherons coupent un arbre du mauvais côté, il tombe sur l’engin. Les commandes sont déréglées, les pneus sont crevés et le moteur prend feu. Baolé essaye d’éteindre le feu en prenant une pelle. Il le recouvre de neige. Le feu s’éteint mais les dégâts sont importants. Baolé est obligé d’aller acheter une pièce qui permettrait de régler les commandes, le bucheron part donc chercher le matériel dans la ville la plus proche. Pendant ce temps, les autres bucherons continuent de travailler plus loin dans la parcelle parce qu’ils pensaient que le feu était éteint. Mais, pendant ce temps, des braises chaudes ravivent le feu et il se propage et arrive près du réservoir d’essence. Une petite explosion met le feu à plusieurs arbres. Les bucherons s’en rendent compte grâce à la fumée. La neige fond près de l’endroit où a eu lieu l’incident. Les bucherons n’ont plus d’autres solutions, ils décident d’appeler les pompiers qui envoient un hélicoptère. En attendant que les secours arrivent, les bucherons essayent de trouver quelque chose pour éteindre le feu. Ils puisent dans leur réserve d’eau. Mais sans succès. Les animaux sont également touchés. La queue de la louve prend feu, elle s’assoit sur la neige et la flamme s’éteint, mais la louve est blessée. L’hélicoptère arrive et asperge la zone en feu. Il est arrivé à temps pour éviter la catastrophe : que la forêt entière prenne feu. Baolé revient à la parcelle et est surpris des dégâts. Son collègue lui explique ce qui s’est passé. Le bois qu’ils avaient déjà coupé à brûler. Baolé est en colère, ce bois devait servir à la construction de l’hôtel. Les bucherons vont être obligés de recommencer.

Les animaux ont peur de ce qu’il se passe et veulent s’enfuir. La louve les rattrape et leur dit qu’il faut sauver cet endroit.

Partie 2 récit C

“ – Ce n’est pas normal ? dit notre maître.

  • Pourquoi le lac est-il vert ? s’affole Camille “

Nous commençons à paniquer car la journée tant attendue commence très mal.

  • “ Eh,vous avez vu, il y a des poissons qui flottent à la surface de l’eau…
  • Ah, ça sent l’œuf pourri, beurk !
  •  Ah, t’as vu les roseaux sont complètement asséchés.
  • C’est quand même bizarre, disent les enfants tous en chœur.
  • Calmez-vous, je vais me renseigner auprès du maître-nageur afin de mieux comprendre ce qui se passe.”

Notre maître se dirige rapidement vers le maître-nageur pour obtenir des informations sur la couleur verte du lac.

“ – Bonjour Monsieur, avez- vous remarqué la couleur verte du lac ?

  • Bonjour Monsieur, je viens juste d’arriver et de m’en rendre compte également ! Je vais appeler le maire de suite.”

Le maître-nageur appelle le maire qui lui répond qu’il allait arriver sur les lieux le plus rapidement possible.

Pendant ce temps-là, Camille, moi et le reste de la classe, nous nous éparpillons autour du lac. En effet, nous sommes à la fois très déçus et avons peur de voir les activités nautiques annulées.  Camille aperçoit quelque chose de lumineux à la surface. Elle s’approche du bord en courant et là PLOUF ! Elle tombe dans le lac.

Nous crions pour avertir M. Labrume qui accourt aussitôt et aide Camille à sortir de l’eau. 

“ Ah, on dirait un monstre marin, crie un élève

  • On se replie, hurlent les autres.”

Le maître nous rassure en nous précisant que Camille, bien qu’elle soit toute tremblante et gluante, est indemne. Je suis quand même très inquiète pour ma sœur qui crache des morceaux d’algues mortes et tousse beaucoup.

Soudain, M.le Maire arrive et s’exprime : 

“ Désolé de mon retard, j’étais en train de régler un souci avec l’eau de la ville. Les habitants se plaignent de la couleur anormale de l’eau.”

Alerte ! Katana en vadrouille. gp bleu Conclusion Récit E

Ils se rendent dans la boutique pour récupérer le Katana.

“-Pourriez-vous nous rendre notre katana, s’il vous plaît ? demande Nezuko, intimidé.

Désolé, j’ai complètement oublié, je l’ai vendu à un homme d’affaires qui m’a fait une offre très intéressante. “

Les enfants sortent du magasin dépités et retournent au commissariat pour faire leur déposition.

Sur le trajet, Jiro dit :” Je savais bien qu’on ne pouvait pas lui faire confiance !”.

Le père de Nézuko les console en leur suggérant de trouver une idée pour remercier Sakura.

 » On pourrait organiser une fếte ?, propose Nezuko.

C’est une super idée, répondent-ils en chœur. “

Ils ressortent du poste de police, soulagés car le coupable a été arrêté et ils rentrent tranquillement chez eux.

Nezuko invite Sakura à faire les boutiques l’après-midi pour l’éloigner de la maison de Tanjiro.

Pendant ce temps, ils sortent les décorations, installent la sono, préparent le dîner pour le soir. Ils emballent les cadeaux des adieux. Tout à coup, Tanjiro remarque qu’il manque un cadeau. Il fouille la maison de fond en comble. Il vérifie souvent par la fenếtre et aperçoit les filles arriver, il crie :

“- Dépếchez-vous de trouver le dernier cadeau, les filles arrivent !

Jiro précise :

C’est bon, je l’ai trouvé, il était au fond du placard à chaussures ! »

Tanjiro s’empresse de descendre les escaliers, manque une marche

et se retrouve dans le panier du chien.

Puis, les filles ouvrent la porte et tout le monde s’exclame :

“ – SURPRISE !!!

– On voulait te remercier, on a donc organisé une petite fếte.

Merci beaucoup, vous ếtes les meilleurs, les amis.

Allez, ouvre tes cadeaux !”

Elle se dirige vers ses cadeaux et commence à les déballer. Lorsqu’elle ouvre le dernier, elle est sous le choc. C’est un magnifique collier en perles.

“- Merci beaucoup, je suis très touchée maintenant je dois partir les amis. Au revoir et prenez soin de vous.”

Le lendemain, les amis se réunissent chez Nezuko pendant que son père travaille. Ils décident d’envoyer une invitation au père de Nezuko et à la mère de Tanjiro. Ils réservent une place dans un restaurant 5 étoiles avec un chef cuisinier connu dans toute l’Asie. En ouvrant l’invitation à un dîner au restaurant KWUNA au 57 boulevard Koyo à 20H15, table 26, Eisaku reconnaît l’écriture de sa fille et se doute de quelque chose.

Avant de s’y rendre, il se met beau, achète des fleurs, et une jolie bague en or. En se dirigeant vers la table 26, il aperçoit la mère de Jiro. Ils se regardent tendrement, rougissent et s’installent à leur table. Ils discutent et au dessert, Eisaku, nerveux lui demande :

“ – Veux-tu m’épouser ?

Oui, je le veux répond -elle toute émue et enthousiaste. »

Les enfants qui étaient cachés sous la table, sortent et crient de joie. Depuis le temps que l’on espérait, nous allons enfin être frère et soeur !


Récit B partie 4 Mme Mallard

Ils s’approchent de plus en plus de la caméra, quand soudain, la caméra vire au noir, ils ont juste le temps d’entendre la voix dire : 

“ – Vous ne m’aurez pas !”

Augustin qui vient de se rappeler où il a vu le collier et les baskets, s’exclame :

« – Ça y est ! Je me souviens! C’est le collier et les baskets que portait la directrice hier !”

– Mais c’est impossible, elle ne peut pas nous faire ça, elle sait bien que le projet d’écriture collaborative compte plus que tout pour nous ! dit Adriel. 

Mais Théo qui ne comprend jamais rien, demande : 

“ – Pourquoi la directrice?

– Oh ! parce qu’elle accuse Héléna, bien sûr, souffle Maëlle.

– Euh… désolé mais je n’ai toujours pas compris…

– Laisse tomber !”

Maëlle, Théo, Issa, Adriel et Augustin s’aperçoivent que la directrice s’approche d’eux. Issa la plus réfléchie des cinq, chuchote :

“- Ne bougez pas !

– Ok, disent en chœur les quatre autres.

– Chut, aussi !

– D’accord, chuchotent les autres.”

La directrice s’approche de plus en plus d’eux et dit :

“- Vous allez voir, c’est peut-être moi la coupable, je dis bien peut-être, mais, je ne me laisserai pas faire !”

Elle ajoute:

“- Je vais vous ligoter et vous bâillonner, et personne ne pourra m’en empêcher ! »

Mais, à peine finit-elle sa phrase qu’ Eclipse, le chien de la Lafouine arrive et saute sur la directrice.

Alors, Adriel court chercher Lafouine qui dit :

“- Je vais voir si ses pieds correspondent au moulage.”

Mais, il ajoute deux minutes plus tard :

“- Au fait, bravo Eclipse !

– Ouaf, ouaf, répondit le chien.

– Ah bravo les enfants !

– Merci !”

Cinq minutes plus tard, la directrice est dans la voiture de police.

Elle ajoute mystérieusement :

“- Je me vengerai et je sais comment…”

Une heure plus tard, Lafouine affirme :

“-  Eh bien maintenant, je pense que l’on peut vous nommer apprenti détective !”

Sur ce, il donne un badge d’apprenti détective à chacun des membres du club des cinq.

Récit D partie 3

Le lendemain, après une nuit cauchemardesque, nous nous rendons sur les lieux de l’explosion. Dans la rue, nous apercevons des affiches avec ‘ WANTED FAMILY’ écrit dessus.



Mathias dit :



“ – Vite, il faut que l’on se ‘planque’

Mais, où ont-ils déniché ces photos ? hurle ma maman en colère !

Oh ! Maman, Maman, on est célèbres ! s’exclame Camille.

Euh, oui mais dans le mauvais sens du terme !”



Nous nous précipitons dans un magasin de déguisements et choisissons des perruques et du maquillage pour changer de look et ne pas être reconnus. Ensuite, nous décidons de poursuivre notre chemin discrètement en passant entre les immeubles pour passer inaperçus.

En arrivant près des restes du Harley Davidson motocycle shop, nous vérifions qu’il n’y a personne sur les lieux. Nous profitons de la pause déjeuner des policiers pour fouiller les lieux. Je suis attirée vers quelque chose de rouge. Dans le doute, j’appelle mon père et lui demande :



“- Regarde, c’est bizarre ce truc rouge….

N’y touche surtout pas, cela ressemble à des morceaux de dynamite.

Oui, c’est le cas, renchérit Mathias en connaisseur.’



Nous hélons un taxi jaune afin d’aller à l’hôtel pour rester en sécurité et réfléchir à prouver notre innocence.

En entrant dans le taxi, ma petite sœur m’agace pour rentrer la première. En voulant la retenir, nous avons bousculé Mathias dont la perruque s’est coincée dans la portière de la voiture. Le chauffeur a le sourire aux coins des lèvres.



“ – Hello, where would you like to go ?

At the Edison hotel on 47th street, please.”



Ma petite soeur ne sachant pas parler anglais crie sur moi en français :

Arrête de m’embêter !”



Le chauffeur ayant des soupçons, enclenche la sécurité des portes de la voiture.

Au bout d’un moment, mon papa étonné demande au chauffeur :

“ – I don’t recognize the way to go to the hotel ?

Oh maman, regarde, il y a un panneau Police comme dans les dessins animés.”

Le conducteur tente de nous rassurer mais ils s’arrêtent devant le commissariat où les policiers nous attendaient.



Partie 2 récit E (groupe rose)

Pendant leur répétition Thaïs joua un magnifique solo à la flûte traversière. Le groupe de jeunes musiciens était satisfait de cette première répétition même si celle-ci se déroulait dans cette maison un peu inquiétante.

Quand ils finirent de jouer, Xavier, curieux, alla regarder une tapisserie déchirée tendue près d’une bibliothèque sur laquelle reposait un drap. Pendant ce temps, ses amis s’assirent sur les fauteuils qui étaient si moelleux ! Ils discutaient des morceaux qu’ils pourraient jouer prochainement en concert.

Soudain la lumière s’éteignit. Un bruit étouffé retentit. Ils crurent entendre un cri animal ! Mais impossible de dire d’où cela provenait. Xavier frissonna de peur.

Pris de panique, il s’agita dans le noir. Il chercha à tâtons un interrupteur. Involontairement il tira un livre. Un bruit de mécanisme se fit entendre. La lumière revint. Ils s’aperçurent alors que la bibliothèque avait pivoté. Les six amis étaient à la fois apeurés et surpris par cette découverte inattendue !

À la place de la bibliothèque se trouvait un passage conduisant à un escalier en colimaçon. Intrigué, Victor se gratta doucement le menton et décida d’aller voir. Le jeune athlète descendit l’escalier en compagnie des quatre filles et de Xavier. La peur se mêlait à la curiosité. Les filles qui avançaient à petits pas étaient hésitantes. Elles essayèrent de convaincre les garçons de ne pas aller plus loin mais ceux-ci continuèrent à descendre.

Arrivés en bas de l’escalier ils virent un tableau de commande permettant d’ouvrir et fermer le passage ainsi que d’autres boutons dont ils ignoraient l’utilité. Face à eux se trouvait une pièce sombre et sans fenêtre. Sur les murs mal éclairés on pouvait voir de mystérieux plans. Le manque de lumière ne leur permettait pas de bien comprendre ce qu’ils avaient sous les yeux. La petite pièce étroite faisait penser à un laboratoire. Le sol en terre battue était couvert de mystérieuses tâches sombres. Le lieu semblait ancien mais il y avait des traces d’activités récentes. Du matériel de chimie et de la verrerie étaient disposés sur des étagères.

Tout à coup un nouveau cri retentit. Dans un coin de la pièce se trouvait une cage occupée par un singe qui hurlait ! C’est à ce moment qu’il y eut une nouvelle coupure de courant. Pris de panique le groupe remonta à la vitesse de l’éclair dans le salon. Arrivés en haut la lumière se ralluma c’est alors qu’ils s’aperçurent que Thaïs n’était plus avec eux ! La bibliothèque s’était refermée et il n’y avait pas moyen de l’ouvrir !

G bleu partie 2 récit C

Le lendemain, Danaël et Clara se lèvent plus tôt que prévu. Ils descendent dans la 

cuisine. Personne. Dans la bibliothèque ? Personne?  Clara tire le livre rouge qui 

ouvre et mène à la pièce secrète. Encore personne … Puis, ils se dirigent vers  le 

salon pour téléphoner à Hercule.

Il  leur répond :

“- Les enfants , désolé, je vous ai laissés seuls dans la maison.

 – Oui, mais ce n’est pas grave, où êtes-vous ? demande Danaël.

– Le président a été victime d’un empoisonnement, mais il n’en est pas mort. Si, vous voulez, venez me rejoindre à l’Elysée ?

– Trop bien, on va pouvoir enquêter ! “ s’exclame Clara.

D’abord, ils prennent leur petit-déjeuner et s’habillent. Ensuite, ils achètent un 

calepin, un crayon , une paire de gants et deux loupes dans une galerie marchande.

Enfin, ils prennent le métro pour se rendre sur le lieu du délit.

Sur le trajet, Danaël dit :

“- T’as vu ? j’ai l’impression que l’on nous observe ?

– Moi aussi j’ai le même pressentiment, de plus, il me rappelle quelqu’un,  répond Clara.

  • Regarde, c’est l’homme qui porte des lunettes, une casquette, un masque chirurgical avec une oreillette et un micro accroché à sa chemise, explique Danaël.
  • Ah, oui ! je me souviens on dirait Finn la Fouine, un hors- la- loi qui s’est évadé de prison. On l’a vu au journal télévisé “, commente Clara

Les deux adolescents descendent rapidement du métro et courent rejoindre Hercule. Ils lui expliquent qu’ils ont crû reconnaître Finn la Fouine dans le métro.